le rêve
“Faut-il avoir peur de nos rêves” nous demande-t-on. Cette question s’inscrit bien dans la modernité de nos sociétés, car notre monde est celui qui, certainement, aura été le plus attentif et soucieux de nos rêves : il les étudie, il les associe à notre sentiment de liberté, il les exploite économiquement. Mais, en même temps, c’est un monde qui s’en méfie, car nos rêves nous dispersent, ils nous intériorisent, et nous éloignent du partage social, celui du travail, celui de la reconnaissance de la loi : quand je rêve, je suis improductif et, surtout, je me met à la marge du sens commun. La question se pose donc, faut-il laisser rêver une société ? Faut-il cultiver ou, simplement, accepter que chacun porte en lui un rêve qui, évidemment, le dissocie du réel partagé ? Mais le problème se pose également à l’échelle individuelle, car si le rêve me soulage, il m’illusionne en même temps et, produisant à coup sûr des frustrations, il est la voie royale pour mes plus terribles déceptions. Que penser face à ses rêves que nous portons, sont-ils positifs ou bien constituent-ils une menace à la fois pour la communauté, mais surtout parfois pour moi-même ?
I. Les rêves nous construisent
Effectivement certains pensent que, les rêves nous construisent, car quand nous sommes enfant on à tous un rêve pour notre futur métier. Vous entendrez beaucoup de petit garçon vous dire qu’ils veulent être pompier ou footballeur et les petites filles qui vous diront qu’elles veulent devenir vétérinaire ou mannequin ... c’est se qui va les guider tout au long de leur vie. Ils vont faire leur étude en fonction de se rêve et trouver tout les moyens possibles pour arriver à leur but qui est de réaliser se rêve d’enfant.
II. Les rêves peuvent nous déconnecter des réalités personnelles mais aussi sociales
Mais selon moi, les publicités nous “vendent du rêve” qui nous éloigne peu à peu de la réalité mais aussi socialement des personnes qui nous