Le romantisme avant tout.
En cette matinée, ni ensoleillée, ni nuageuse, un jeune homme appelé Louis, sentit les vibrations de son réveil trotter dans sa tête, un réveil toujours aussi agacent que les précédents, et ouvrit les yeux avec légèreté, car le soleil tapait fortement sur les fenêtres ainsi que dans les prunelles bleues océan de celui-ci. Il se redressa tout doucement, s’étirant toutes les parties les plus fragiles et craquantes de son corps. C’est un bâillement qui vint couronner le tout, tuant avec faiblesse le silence. Sortant de son lit, il marcha à pas lents et pénibles vers sa porte, frottant et faisant cligner ses yeux afin d’avoir une meilleure vue, tournant la poigné de la porte simultanément. Lorsqu’il fut sorti de sa chambre, il s’avança un peu dans le couloir en marchant vers sa salle de bain. Il ouvrit la porte, et à sa grande surprise, la fenêtre de cette pièce était déjà ouverte. Le jeune homme voulut prendre une bouffée d’air bien frais, et se déplaça avec plus de rapidité dans ses pas vers celle-ci pour ensuite sortir sa tête afin de s’exposer à la douce braise du vent, ainsi respirant l’air à pleines narines. Louis avait une parfaite vue sur le parc, si verdâtre et immensément décoré. Il sortit à son habitude un paquet de cigarettes de sa poche de pantalon de pyjama, que le jeune châtain n’oubliait jamais. Sa main vint se poser sur un briquet qu’il laissait toujours sur son lavabo, car son habitude était de fumer par cette fenêtre. Le jeune homme alluma celle-ci, la fumant ensuite avec tranquillité et les pensées calmes. Louis aspirait et expirait jusqu’à par la suite apercevoir un homme qui le regardait, même si celui-ci avait les cheveux qui n’étaient pas encore coiffés. Trouvant cette situation quelque peu gênante, il fixa avec autorité le regard de ce jeune inconnu, qui avait le regard émeraude et somptueux, tout en entraînant ses doigts dans ses cheveux pour dresser une mèche qui fut assez rebelle. Le jeune châtain, maintenant plus présentable