Le premier bébé médicament en france
Objet de l’étude
Le premier bébé médicament en France
LPP Saint-Louis 2010-2011
Fiche objet d’étude
Etude : Le premier bébé médicament en France
Objectif : • Analyser les faits • Détailler chaque partie • Expliquer les réflexions
Condition de réalisation : • Site internet : France-info.com, lepoint.fr, libertepolitique.com • Document : elleinfohebdoactu
Champs de connaissances : • •
Introduction
Le premier bébé médicament en France.
Peu t’on accepter un enfant né pour sauver ?
Pour répondre à cette problématique, je vais tout d’abord expliquer les faits, Puis ensuite les Réflexion sur les « bébé médicament ».
Développement
1) Les faits
Le 26 janvier dernier, un petit garçon Umut-Talha (en turc : « notre espoir ») a vu le jour à l’hôpital Antoine Béclère à Clamant. Il est né par fécondation in vitro, après un double diagnostic génétique préimplantatoire permettant le choix des embryons. Cette double procédure de diagnostic a permis de s’assurer d’une part que l’enfant était indemne de la grave maladie génétique dont souffrent les premiers enfants de la famille, mais aussi qu’il pouvait être donneurs compatibles qu’avec l’un de ses aînés malades.
Cette comptabilité a permis de procéder à une greffe de cellule souche prélevée dans le sang du cordon ombilical pour soigner sa sœur malade, d’où ce nom « de bébé médicament ».
Cette pratique existe dans certain pays depuis plusieurs années. En France, il a fallu attendre qu’une loi soit votée et que son décret d’application soit publié. Cette pratique est strictement encadrée.
2) Réflexion sur les « bébés médicaments »
Beaucoup d’opposants à cette loi s’inquiètent sur le devenir de ces enfants qui on été conçus dans le but de sauver un frère ou une