la gloir de mon pére
Mais se promener dans cette forêt la nuit n’est pas conseillé…
Alors voilà… C’était la nuit dernière, oui, la nuit de la gracieuse pleine lune . Comme à mon habitude je me rendais à ma clairière pour y admirer les étoiles, cette nuit les étoiles couvraient le ciel entièrement, c’était splendide, la nuit était éclatante, un paysage chatoyant.
Le vent soufflait de plus en plus fort, mes longs cheveux d’ébène virevoltaient autour de mon visage, mais cela ne m’empêchait pas de dévisager ce ciel somptueusement étoilé.
Je vis une étoile particulièrement grosse, il me fallut quelques minutes pour comprendre que cet astre fonçait droit sur la forêt… Et j’ai vu sa chute, je l’ai vue tomber plus loin dans l’obscurité. Je décidais d’aller voir, je me levais et m’enfonçai dans le noir…
La lumière des étoiles et celle de la lune détrompaient mon chemin.
J’arrivais enfin ! à ma plus grande stupeur, une autre clairière, il y avait des fleurs de deux mètres, les pétales étaient étonnement colorés, de turquoise, de rose, d’orange, de jaune, de violet… Le sol était moussu et doux, des arbres s’inclinaient sur ce sanctuaire.
Mais aucune trace de l’étoile, cette nuit était plus froide que d’habitude, un brouillard épais s’était répandu sur ce havre…
Ma peau frissonnait, les arbres se mirent à hurler, le vent soufflait d’une puissance inégalable et des ombres dansaient dans l’obscurité.
Je décidais de faire demi-tour, la peur m’enlaçait, je pressais le pas mais la brume couvrait mon chemin et les étoiles s’éteignaient une par une… Même la lune s’était voilée.
Je me mis à courir pendant quelques temps et enfin j’arrivais dans ma clairière..
Il faisait très sombre, je ne voyais à peine…
Je frottais mes yeux, mais en vain…
Je ne voyais toujours pas, alors je m’assis et je repensais à l’endroit où l’étoile était