Le peintre de la vie moderne
Résumé du texte de Walter BENJAMIN publié en septembre et octobre 1931.
Chapitre 1 Plus que l’imprimerie, l’invention de la photographie était pressentie au sein de cette époque. L’état a profité de la difficulté a faire breveter l’invention pour la racheter et la faire tomber dans le domaine public, a partir de là, la photographie va se développer pour atteindre son âge d’or (Probablement les années 1850-1860-1870), avant que ne se développe la photographie industrielle qui conduit à la mort véritable de la photographie.
Non pas que certains individu n’ait pas utilisé la photographie pour des arnaques de foires, mais cela restait bien moindre comparé a ce que DISDERI (1819-1889) (qui deviendra millionnaire), va faire en inventant la carte de visite avec empreinte photographique (il dépose le brevet en 1854, la chronologie de BENJAMIN est très douteuse). Pour BENJAMIN, le regain d’intérêt pour la photographie à l’époque (années 1930) s’expliquait pas l’effondrement de la société industrielle (crise de 29 qui a ses effets en Allemagne), qui avait naguère conduit à l’appauvrissement de la photo.
Très tôt déjà, la photographie avait été accueillit de manière plus ou moins bonne, en Allemagne certains n’hésitaient pas a lui reprocher son caractère « mécanique », « technique » ; qui l’empêchait définitivement d’être un art. Pourtant dès 1839 des personnes comme M. ARAGO, avait montrer que la photographie pouvait dépasser ce débat stérile qui devait l’opposer à la peinture (p 8), et ouvert des champs d’exploitations vastes et nobles. Dès le Daguerréotype pourtant des peintres on sus utiliser le support pour participer à leurs créations (même si la photo n’est pas l’objet final de la création) (c'est le cas de UTRILLO, et de HILL, qui n’est maintenant plus reconnu que comme photographe). Pourtant la photographie révèle certains aspects de son identité dans le fait que contrairement a la peinture