Etude du texte L’histoire se situe à la fin du XIX ème, au moment où elle a été écrite. On peut s’apercevoir que cette nouvelle n’est pas récente car de nos jour il serait improbable de se moquer de quelqu’un qui n’aurait pas de père. Or il faut un ceratin laps de temps pour que les mentalités gangent. Cette histoire dure environ trois mois(« Pendant trois mois » p.4) L’intérèt de la nouvelle est de faire réfléchir le lecteursur la cruauté dont est vctime Simon par rapport aux mères célibataire aux façon dont on percoit quelqu’un de différent. Simon est défini comme un enfant sage, pâle, timide et maladroit. Il a tout d’un petit ggarçon parfait ce qui ne peut faire qu’accentuer la jalousie de ses camarades. De plus il est présenté comme un enfant sul, agé de 8 ans face à des adolescents (« un garçon de quatorze ou quinze ans »). Cela contribut à accenter les différences entre lui et les autres. Mais il ne l’idéalise pas pour tant que ça car il est capable de jouer à la grenouille comme les autes avec lui. Il souhaite montrer que l’on s’en prend toujours à quelqu’un petit ou différent de nous, une victime. La blanchotte, on remarque que ce prénom n’a pas été choisi au hasard. Il évoque la pureté, l’innocence avec le radical « blanc », et sa terminaison « hotte » à quant à elle une connotation péjorative. Elle surprend le personnage de philippe par sa froideuret sa sévérité (« la grande pâle qui restais sévère »), elle va à l’encontre de l’idéé qu’on se fait d’elle. Elle est cependant sensisble au sort de son fils (« meurtriejusq’au fond de sa chair, elle embrassa son enfant avec violence ») Philippe est le symbole de la force masculine, de la protection. Il est influencable par le regard des autes. Tout d’abord par les rumeurs qui courrait sur la Blanchotte. Puis par le jugement des forgerons sur celle-ci ce qui le décide à la demander en mariage. C’est à travers les forgerond que l’auteur exprime son opinion par rapporrt aux comportement des