Le mariage force
La pratique du mariage forcé était très commune dans les classes aisées européennes jusqu'à la fin du xixe siècle. Cependant la culture occidentale et l'organisation des Nations unies voient aujourd'hui le mariage forcé comme une atteinte aux droits de l'homme, puisqu'il viole le principe de liberté et d'autonomie des individus. Et on adoptée la Convention supplémentaire relative à l'abolition de l'esclavage en 1956 par une conférence de plénipotentiaire réunie qui interdit le mariage sans droit de refuser d'une femme comme un des "pratiques analogue à l'esclavage",1 et demande aussi une législation sur la nubilité si necessaire pour sa prévention.2 Les femmes en sont les victimes les plus communes mais les hommes sont aussi forcés de se marier au nom de la fierté familiale, du souhait des parents ou par obligation sociale.
C'est encore un problème commun en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique et en Europe de l'Est. Dans certains pays, il s'accompagne de l'enlèvement de la future mariée, notamment au Kirghizistan : pratique d'Ala Kachuu.
Le mariage forcé est souvent appelée "mariage d'affaire" dans les Antilles notamment en Haïti. L'avantage attendu est une résidence légale permanente dans un pays, ou de l'argent.
Conséquences[modifier | modifier le code]
Ces jeunes filles sont contraintes à des rapports sexuels et des grossesses non désirés, des violences conjugales, des pertes d'autonomie et de liberté. Tous ces