Le libraire (jodoin)
La façon d'agir de Jodoin a été complètement le contraire quand le curé a passé. Son attitude d'indifférence n'était plus présent. Habituellement, le personnage principal est du genre "peu importe". Il est quelqu'un de neutre et de simple. De plus, Jodoin n'exprime ni intérêt, ni amour, ni crainte et ni peur. Cela est ainsi demontré lorsque Mlle Placide voulait de l'aide à placer des jouets. Jodoin a répondu : "Ce n'était pas de mes oignons". (p.25) Son vocabulaire est rempli de mots insignifiants, par exemple : ça m’était égal, manque d’esprit d’observation, etc. Par contre, en présence du curé, Jodoin a du coeur. Il est plus vivace et plus enthusiate. Il est compatissant envers le curé, en l'aidant avec ses besoins. Par exemple, il lui a servi un tabouret et il a "verifié" l'inventaire des livres. Bref, il était très aimable et avait l'air content.
L'attitude de Jodoin en tant que libraire a ainsi changé lorsqu'il était en présence du curé. Jodoin, à l'habitude, fait son possible de ne pas être en contact avec ses clients. En fait, lorsqu'un lecteur lui demande son opinion par rapport à un livre, Jodoin le parvient un livre des plus ennuyeux afin qu'il ne retourne plus lui demander son avis de nouveau. Bref, il est un libraire peu utile. Par contre, lorsque le curé est venu, son attitude a changé. Il est devenu quelqu'un de débrouillard et d'indépendant. Il agissait comme s'il avait l'intention de l'impressionner car il passe d'un niveau de langue populaire à familier. Il avait intérêt à l'aider avec ce qu'il cherchait, ce qu'il n'a pas l'habitude de faire. "[...] je lui demandai s'il désirait que je lui commande les deux volumes qu'il m'avait mentionnés [...]" (p.