Stefan Zweig , écrivain du XXème siècle, souhaite montrer à travers son écriture, la haine qu'il éprouve envers la guerre et s'appuie sur le jeu des échecs dont il est amateur pour illustrer son propos.Le Joueur d'échecs est en effet une courte nouvelle écrite en 1941 publiée à titre posthume en raison du suicide de Stefan Zweig, le lendemain de l'envoi du manuscrit à son éditeur qui raconte l'histoire d'un homme arrêté par la Guestapo dont il ne connaît que l'initiale M.B., et qui subit une torture morale. Grâce à la découverte d'un manuel d'apprentissage des échecs ,M.B. parvient à résister mais n'échappe pas à la folie dans laquelle ses parties de prisonnier solitaire le font sombrer. Il sera sans doute malade toute sa vie et ne touchera plus au échecs mais çela reste une supposition. Ce livre nous fait réfléchir sur l'horreur de la guerre et avec la représentation des personnages très travaillée nottamment Czentovic. Et nous fait réfléchir aussi sur les tortures et c'est a ce point si nous nous demandons pas si la torture mentale est plus dure à subir que la tourture physique mais toutes les deux restent graver à jamais. Nous pouvons faire un opposition ici avec une pièce de théâtre de Jean-Claude Grumberg qui a écrit Demain fenêtre sur rue. Où là justement utilise des personnages pour dédramatiser la scène et la prennent pour un spectacle quotidien