Le grand meaulnes
Henri Alban Fournier de son vrai nom, adopte le demi-pseudonyme d’Alain Fournier vers 1907. Il écrit son unique oeuvre achevée “Le Grand Meaulnes”en 1910, et celle ci sera selectionnée aux Goncourt , même si elle ne remportera pas le prix. Alain Fournier sera porté disparu à l’âge de 28 ans lors de la première guerre mondiale, au sud de Verdun dans les hauts-de-meuse.
Il décide de nous raconter ce magnifique ouvrage bien ancré en plein dans ce nouveau genre à savoir le récit poétique.
Nous nous situons dans un petit village de Saint-Agathe, là ou notre petit narrateur qui répond au nom de François, vas nous raconter l’histoire d’un jeune homme, Augustin Meaulnes, qui s’installe chez lui à pétition de sa mère. Ils iront tous deux à l’école de Monsieur Seurel, père de François, au village de Sologne. Augustin qui se distingue au début par son caractère de voyou, tout au début du récit décide de faire une des siennes. Au lieu de mener à bout son petit plan, tout prend une autre tournure. Il découvre un domaine mystérieux, où se fêtent les noces de Frantz de Galais et Valentine. Tout paraît magique, mystérieux et joyeux. Il y tombe amoureux d’Yvonne de Galais, et c’est à partir le moment de l’initiation de la quête de ce domaine merveilleux pour le Grand Meaulnes et son partenaire d’aventures François.
On a pu effectivement observer dans ce roman une trace de mystérieux qui apparait déjà avec l’arrivée du grand Meaulnes, personnage qu’on a du mal à cerner, puis avec l’arrivée au domaine merveilleux. C’est là bas que Meaulnes rencontre des personnages surprenants, aimables alors qu’une fête quasi magique s’y déroule, avec des décorations de carnaval, des personnages masqués…etc. Lorsque Meaulnes retourne chez les Seurels on à du mal à croire à cette description onirique, qui franchi la frontière entre le réel et l’imaginaire.
La structure, qui est linéaire est parfaitement bien construite nous