Le droit succesoral
La responsabilité du fait d'autrui par l’un d’eux : CE 3 février 1956 Thousellier (arrêt confirmé par la suite et étendu aux malades mentaux). - Cass. Ass. plén. 29 mars 1991 Blieck, fiche : un handicapé mental, placé dans un centre éducatif où il avait une totale liberté de circulation la journée, avait provoqué un incendie volontaire... Premium 2665 Mots 11 Pages
duire la part de l'enfantnaturel comparé à l'enfant légitime en vertu de l'art. 760 du Code civil. - M. X engage alors une démarche en justice afin de rétablir une égalité stricte en matière de droit successoral entre lui-même,enfant naturel, et son frère, enfant légitime.
La procédure - Tribunal d’Instance ou de Grande Instance a été saisi par le justiciable M. X en sa qualité de demandeur, sa demande est rejetée. M.Xinterjette alors appel en sa qualité d’appelant, l’affaire étant rejugée en cours d’Appel et sa demande étant à nouveau déboutée. M.X formule alors un pourvoi en cassation (Cour de cassation) et rendl’arrêt le 25 juin 1996.
Les arguments des parties - Le demandeur M.X prétend à la reconsidération du partage successoral entre lui, enfant naturel, et son demi-frère, enfant légitime, suite au décès deleur mère au motif que cette distinction enfant naturel/enfant légitime établit dans l’art. 760 du Code civil constitue une discrimination injustifiée. Par ailleurs, cet article viole alors lesarticles 8 et 14 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, mais aussi la Convention de NY du 26 janvier 1990 sur les droits de l’enfants. Le ministèrepublic refuse de