Le cid
Don Diègue et le comte de Gormas ont décidé d’unir leurs enfants Rodrigue et Chimène qui s’aiment. Mais le comte, jaloux de se voir préférer le vieux don Diègue pour le poste de précepteur du prince, offense ce dernier en lui donnant un soufflet. Don Diègue, affaibli par l’âge et trop vieux pour se venger par lui même, remet sa vengeance entre les mains de son fils Rodrigue qui, déchiré entre son amour et son devoir, finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Chimène essaie de renier son amour et le cache au roi, à qui elle demande la tête de Rodrigue. Mais l’attaque du royaume par les Maures donne à Rodrigue l’occasion de prouver sa valeur et d’obtenir le pardon du roi. Plus que jamais amoureuse de Rodrigue devenu un héros national, Chimène reste sur sa position et obtient du roi un duel entre don Sanche qui l'aime aussi et Rodrigue. Elle promet d’épouser le vainqueur. Rodrigue victorieux reçoit du roi la main de Chimène : le mariage sera célébré dans un délai d’un an.
En général la pièce le Cid était réussit, cela se doit aux aspects de le spectacle qui ont fait en sort que les auditeurs s’accrochent à l’œuvre. Personnellement, je noterai la pièce 4.5/5. Pourquoi? Commençons d’abord par l’aspect de la décoration qui est un point clé dans l’environnement théâtral car cela permet aux spectateurs de différencier les divers lieux qui peuvent avoir dans une pièce. À cet effet, chapeau pour le metteur en scène, Daniel Paquette, car chaque lieu de la pièce était mit en évidence par les diverses décorations. Ensuite, les acteurs étaient à l’hauteur du chef-d’œuvre, ils ont bien métrisé leur texte, sans aucune évidence d’erreur. Enfin, j’ai admiré les très riches costumes utilisent pour trace le temps de l’Espagne du XVIIe. Une autre réussite de la part de Daniel. D’autre part, je m’attendais plus dans l’aspect des effets spéciaux, surtout dans la partie du confrontement entre le comte et Rodrigue je voulais voir plus de