La vérification en philosophie
L’une des deux vérités se rapproche de l’idée d’une cohérence avec le monde qui entoure ces faits : par exemple dire que le ciel est bleu est cohérent avec la vue de ce ciel. L’autre vérité se rapproche de l’idée de corresponde et qui se traduit par une démonstration via la vérification : il faut vérifier qu’effectivement le ciel est bleu en le démontrant. Or, cette correspondance se traduit par un travail de vérification qui suppose une certaine méthodologie, notamment pour s’assurer que les conclusions ne soient pas contre-productives. Ainsi, les syllogismes participent à la vérification d’une vérité à travers une cohérence entre les différentes options possibles. Toutefois, ces syllogismes peuvent être transformés en sophismes dans le cas d’une mauvaise méthodologie, et donc d’un procédé de vérification qui ne soit pas le bon. La vérification peut donc à ce titre être tronquée pour une fausse vérité. [1: Sur cette question, on peut …afficher plus de contenu…
Il s’agit de prendre en compte certaines limites liées à la notion de vérification car la recherche unique de la vérification peut nuire à la recherche de la vérité : il s’agirait simplement de trouver une raisonnement logique et cohérent pour en déterminer une vérité qui, elle, peut toutefois être fausse. C’est notamment ce que le narrateur de