La question de l'habité de christophe van gerreweeny
Tafuri. Van Gerrewey nous introduit en évoquant la période viennoise après la
Première Guerre mondiale ainsi que le programme de logements sociaux entre- pris par les autorités étatiques. Il en critique le fait que ces autorités étatiques viennoises considèrent …afficher plus de contenu…
« Tafuri part du principe qu’une production architecturale est toujours la consé- quence d’une situation économique donnée. ». En effet nous pouvons considérer que l’architecture est le fruit d’une situation économique donnée. Après Guerre, en vue d’une situation économique en baisse avec un taux de chômage impor- tant, il était nécessaire de construire des logements peu coûteux et rapidement.
L’économie fait part entière avec l’architecture, si les moyens manquent les pro- jets ne peuvent se construire comme l’imagine l’architecture. C’est l’économie qui contraint l’architecte à faire des choix. C’est choix peuvent néanmoins faire part du projet en lui-même. En effet si l’architecte s’impose des contraintes …afficher plus de contenu…
Tafuri parle aussi des autorités étatiques chargées de construire des logements à la place de sociétés privées. Il est intéressant de procéder ainsi seulement dans certains cas exception- nels comme un après guerre ou la reconstruction doit se faire rapide et efficace.
Néanmoins, le contexte politique a parfois trop d’influence sur la production ar- chitecturale, sur la conception de logements. Si l’état seulement s’occupe de la conception de logements, l’originalité, l’architecture n’évoluera plus, il n’y aura plus de créativité, de diversité de styles architecturaux. L’architecture établie par une autorité étatique n’est ni plus ni moins qu’un effet de mode, les régimes