Le XVIIème est partagé entre le gout baroque et l’esthétique classique dont Mme de Lafayette est l’une des illustres représentantes. Intellectuelle indépendante réputée pour sa finesse et son esprit, elle tient salon et s’entoure des brillants esprits de son temps : La Rochefoucauld, Mme de Sévigné et Perrault. Intime des grands du royaume, elle est appréciée du jeune Louis XIV pour son talent même si elle ne peut reconnaître la paternité (maternité ?) de ses œuvres (La Princesse de Monpensier, …afficher plus de contenu…

Ensuite a la ligne 2 le « on » est un pronom indéfini qui montre que La princesse est soumise au regard de la cour. Le rythme binaire « sa beauté et sa parure » montre que à la cour la valeur première est l’apparence.3. A la ligne 3 « assez grand bruit » est ici une litote. On retrouve aussi un pronom indéfini « quelqu’un » a la ligne 4. Ce personnage est anonyme et sa singularité est marqué par son entrée fracassante de plus il ne respecte pas les conventions.4. A la ligne 5 on assiste au point de vue de la Princesse. Les « yeux » initie le ch lexical de la vision. Puis on a une relation sujet objet où le roi est sujet. Cela montre le pouvoir incontestable qu’a le roi …afficher plus de contenu…

La reprise anaphorique de « se parer » avec la ligne 1 montre que par leurs similitudes ils étaient destinés à se rencontrer.3. A la ligne 11 étymologiquement le mot « étonnement » signifie le tonnerre ici la sensation ressentie lors du coup de foudre. Puis a la ligne 12 on assiste a un rapprochement physique et la négation totale « ne put s’empêcher » désigne les sentiments très fort.4. A la ligne 13 le pronom personnel « ils » regroupent la princesse et Nemours ce qui créent une certaine fusion et la danse est métaphorique de l’amour il n’y a que des gestes sans aucune parole. La contradiction « s’éleva et murmure » désigne le regard de la cour et qu’elle