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La mort des amants, rimbaud

1008 mots 5 pages
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LA MORT DES AMANTSINTRO : Pb : On peut se demander comment sont représentés ces amants et cette mort ;Mvt : · Deux quatrains : description d’un état, du lieu statique et hors chronologie.· Premier tercet : moment de la mort· Dernier tercet : PREMIER QUATRAINCe passage est de l'ordre de la description. Le "Nous" est dominant, tout semble venir vers le couple ; mouvement de l'extérieur qui vient vers l'intérieur. Il évoque déjà la mort et peut même rappeler "L'invitation au voyage" sauf que c'est …afficher plus de contenu…

Ce temps exclu totalement la modalité, l'éventualité. Le poète tente en quelque sorte d'échapper au présent. prise de parole d'autorité.- Description d'une chambre nuptiale : "lits", "divans", "étranges fleurs sur des étagères" ; mais aussi funéraire : "tombeaux", ambiguïté avec "fleurs" qui pourraient être les fleurs qu'on dépose sur la tombe d'une personne enterrée, et les "divans profonds" avec profond qui fait encore penser a un cercueil profond qui accueillerait alors les deux amants. Le décor amoureux embellit la mort imminente, faisant d’elle une espérance.- bizarreries : l'occurrence du mot "lits" au pluriel et "Les divans" aussi.- Sensualité écartée : chez Baudelaire, elle se définie souvent par des parfums lourds, capiteux. Ici les "odeurs" sont …afficher plus de contenu…

Le rayonnement dissipe le corps. L’union se fait alors par quelque chose d’assez spirituel, par le rayonnement des cœurs. Les amants s’épurent.1ER TERCET :- Le tercet est introduit par le cct « un soir » qui réalise une coupure avec le début du poème. La mort va sûrement se réaliser.- La présence des couleurs (« rose et « bleu mystique ») témoignent d’une expérience heureuse, pas du tout funèbre. Et ces couleurs reprennent le thème baudelairien de la montée vers la lumière. - Une transcendance se met en place avec l’adjectif « mystique » (qui qualifie le bleu), les amants sont en contact direct avec le divin.- « l’éclair unique » représente le spasme au moment de la

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    La mort éminente est préfigurée à maintes reprises au début du texte à travers le « violoncelle couché dans un cercueil noir » (l.4) qui évoque la tombe et la phrase exclamative « Ne plus rien entendre, ne plus rien voir ! » qui fait référence à l'état d'un mort. Antoine est convaincu qu’« une fois dans le wagon, il ne souffrirait plus autant ».….

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  • Anthologie de poesie.
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    l'âme en secretSa douce langue natale. Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canauxDormir ces vaisseauxDont l'humeur est vagabonde ;C'est pour assouvirTon moindre désirQu'ils viennent du bout du monde.- Les soleils couchantsRevêtent les champs,Les….

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  • Prologue de jean-luc lagarce, jean-luc lagarce
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    ♦Enfin, on peut comparer l’écriture de Lagarce à de la poésie : ces formules juxtaposées ressemblant à des vers libres. ♦Louis fait ensuite une analepse où il raconte les « nombreux mois » où il s’est refusé à l’évidence de sa mort : le vide, l’inanité de cette attente sont marqués par l’adverbe « déjà », les formes négatives « ne rien faire », « ne plus savoir », le verbe « tricher » qui montre bien que le personnage a vécu dans le….

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  • Allons nous voir si la rose
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    las ses beautés » place le poème dans un univers élégiaque (Qui exprime la mélancolie) et inscrit donc le regret, la nostalgie au cœur du poème. Cette plainte est renforcée par les tournures restrictives utilisées par R comme « peu d’espace » ou « ne dure que… »Comme la rose, la beauté de C est soumise à la fatalité tragique qu’est le temps. On relève également plusieurs termes liés à la chute comme les termes à la rime « cheoir » et « soir » (v9 et 12) ou le terme….

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  • Commentaire On ne badine pas avec l'amour acte III scène 8
    690 mots | 3 pages

    - Le refus de Perdican d'aller voir Rosette avec Camille : "non". 
Il n'y a plus de métaphore du bonheur rêvé, c'est la réalité de la mort. 
= La mort sépare les deux amants au moment même où ils sont parvenus à surmonter leur amour propre. B. Moment culminant du texte pathétique.….

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  • Analogie mirabeau
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    C’est décris comme l’arrivée de l’épouse dans la cérémonie de mariage :l’élégance, la joie et l’amour. 3. « Parmi les hommes dépareillés de ces temps je marche à grands coups de tête à fusée chercheuse avec de pleins moulins de bras sémaphore du vide de tambours dans les jambes et le corps emmanché d’un mal de démanche » SÉQUENCES, Gaston Miron J’ai choisis cette extrait de ce poèmes puisque c’est elle qui m’a donné l’image la plus vive et plus claire. En la lisant j’ai tout de suite pu imaginer une révolte agressive ,mais silencieuse . Des hommes épuisés, mais déterminés à continuer de marcher et de branler leur pancarte….

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  • Tableaux parisiens baudelaire
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    Le soleil, sujet tout puissant et bienveillant apparaît comme un dieu bienfaisant en première lecture. III. Soleil-Poète, Poète-SoleilLa dernière strophe est un quatrain : cette forme deux fois plus courte que les strophes précédentes donne une clé de lecture qui invite à relire l’ensemble du poème.a. « Quand, ainsi qu’un poète, il descend dans les villes[…] »La comparaison initiale est un peu surprenante : on a l’habitude que le poète soit comparé à l’astre et non l’inverse.….

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    Présence de la Confusion temporelle, la mort est présentée comme encore non advenue mais inévitable. Cette mort inévitable s’inscrit dans la traditioon de la tragédie.-Presence dramatique de la mort avec la repetition du verbe « mourir »-« j'ai près de 34 ans maintenant et c'est à cet âge que je mourrai. », Présence d’une marque d’ironie tragique avec la ref de l’âge symbolique de la mort du Christ, parle de lui-même avant que sa mort ne survienne, Donne la parole à un mort, c'est ce qu'on appelle une prosopopée, L’emploi ds la même phrase de l’adv temporel «….

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    D’ailleurs, nous avons un rejet externe entre le vers 18 au vers 19, ce qui renforce l’idée à ce que le poète imagine l’image funeste de la servante. Les vers (20-21) nous revoient au vers (1), on constate que le poète fait l’éloge de la bonté de la servante comparée à une mère d’où l’emploi des mots comme « œil maternel » et « âme pieuse ». Le vers (21) peut aussi nous renvoyer sur le fait le poète se rend compte de la misère de la servante étant donné que la fin du vers est émouvante d’où l’emploi des mots « pleurs » et « creuse ». Globalement, dans ce poème, Baudelaire dépeint l’image funeste de la mort à travers le souvenir de la servante qui a été, pour lui, comme une mère.….

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    « couvercle » pèse sur « l’esprit » > il subit V.3 : « que » allitération qui évoque le « couvercle » qui se ferme comme si on devait mettre des coups pour qu’il se ferme V.4 : « un jour noir » = oxymore : montre insistance que le jour n’est pas suffisant pour égayer le poète (jour pire que la nuit) / « verser » : liquide (pluie ou larme du poète), mvmt haut vers le bas (notion de pluie strophe 2) Strophe 2 : TERRE : V.5 : Motif de pluie (sensation désagréable d’humidité) « humide », « pourris » + « Terre » comparée à un « cachot » (enfermer)….

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    Comment Baudelaire parvient-il à montrer la beauté cachée au cœur même de la mort ? Première strophe : Le poème s’ouvre sur une adresse directe, à l’impératif, du poète à la femme aimée désignée par « vous » et « mon âme ». Le vers 2 place un décor agréable, à l’aide de deux adjectifs : « beau » et « doux » ainsi que de l’adverbe d’intensité « si ».….

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    Une charogne « charogne » + sonorités désagréables [ch], [r], [gn]Peu poétique, provocateur. Thème peu courant en poésie, plutôt novateur pour le genre et l’époque. C’est l’horreur et la laideur qui sont annoncées mais c’est aussi la destruction causée par la fuite du temps.« une » article indéfiniCadavre indéfini : suspenseI. le cadre descriptif (strophe 1 à 3)A. cadre spatio-temporel (strophe 1)V1 impératif + pronom « vous »Valeur de politesse : adresse intime à la femme aimé. Promenade amoureuse….

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  • montaigne
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    I-2 L'expression répétée du sujet Dans les 2 cas, il commence par nous indiqué clairement, qu'il se base sur des expériences personnelles ; « voir » ligne 11, « me ramentoit » ligne 21, « j'ai aperçu » ligne 21. On a deux évocations, dont lesquelles les adversaires sont présentés d'une manière ironique et parallèle ; « nous hommes » ligne11, « nos jeunes courtisans » ligne22  l'emploi du « nos » est ironique. Dans les 2 cas, on remarque une vive opposition entre « je » et le comportement des voyageurs et courtisans.….

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