La vie
De très nombreuses sensibilités,
Que nous ne pouvons pas expliquer,
Et desquelles nous disons elles existent.
Vouloir comprendre nous fait perdre du temps
Ou faire naître des extrapolations,
Qui vont nous perturber nos raisons,
Sans nécessairement faire des contents.
Ajouter ou retirer un pied,
A des humains qui se déplacent bien,
C’est faire naître de nombreux contre-pieds.
Alors… devons nous dire à ces autres,
Que nos méditations du demain
Pourraient les faire vivre de manières autres ?
Pour certains ce texte se suffit en lui-même, ils n’en ont rien à faire, ils sont certain de l’avoir compris, pourquoi insister, ce ne sont pas des sans culture quand même.
Pour vous les autres, ceux que je remercie de faire l’effort de me lire, je vais continuer en osant vous narrer ce que ma muse ose me fait croire être de la poésie.
Deux hommes de DIEU en prières et méditations, marchaient les yeux fermés, pour ne pas être distraits par leur environnement.
L’un d’eux s’est senti piqué au visage par un moustique, il se gifla et ouvrit les yeux. "Oh ! Il n’y a rien sous nos pieds".
Purent-ils continuer à évoluer comme ils le faisaient au paravent ?
Devons-nous punir le moustique ?
C’est vrai que de questions qui peuvent en entraîner d’autres.
Ou plutôt.
Un groupe de travail marche sur une route, l’un d’entre eux se propose de marcher une centaines de pas devant le groupe.
Ce solitaire arrive à une intersection, regarde dans les trois directions, et revient en courant, en criant de toutes ses forces "il faut faire demi-tour" sans pouvoir convaincre les autres, car il n’a pas compris ce qu’il a vu, et par conséquent ne sait pas l’expliquer.
Le groupe considère sans intérêts cet affolement, continu d’avancer vers l’intersection, et va donc découvrir cet inexplicable, sans pouvoir reculer, poussé par ceux qui ne l’on pas encore vu.
Purent-ils continuer à évoluer comme ils le faisaient au