La vie devant soi
Romain Gary nous transporte dans un milieu l’ou les rapports entre générations, courant de pensée et ethnie de forme relativement dissimilaire joue un rôle essentiel pour les personnages dans le roman La vie devant soi. L’histoire tourne autour de Momo, et l’attachement qui se développe entre lui et madame Rosa. Une relation qui connaîtra son meilleur tout comme son pire. Mais quoi qu’il arrive, Momo, tenace à l’idée se consacrer entièrement pour madame Rosa, malgré que les réflexions de cette dernière s’envolent comme poussière. Mais comment combler le sentiment d’appartenance, lorsque l’on partage l’envie de retrouver sa famille biologique, rester auprès de l’adoptive et celle que l’on cherche à appartenir?
Tout d’abord, il est indispensable d’acquiescer les choses comme elles le sont. L’être humain dans sa nature sera dans la majorité du temps, attiré dans une relation lui permettant de combler son désir d’un attachement réciproque. Lors du contraire, nous avons constamment l’appréhension de plonger dans la solitude. Voilà ce qui préoccupe tant madame Rosa, que Momo. Elle refuse, sous aucun prétexte, de se trouver sans Momo.
Elle ne veut pas se retrouver seule. La solution qu'elle choisit alors, est le mensonge. Pourquoi? En rajeunissant Momo, de l'âge qu'il es réellement, la crainte de se retrouver sans lui est vaguement diminuer.
"Je voyais bien qu'elle ne respirait plus mais ça m'était égal, je l'aimais même sans respirer."
Mr Hamil dit que l'humanité n'est qu'une virgule dans le grand livre de la vie et quand un vieil homme dit une connerie pareille, je ne vois pas ce qu je peux y ajouter.L'humanité n'est pas une virgule parce que