La vie après la mort
Sujet : Dans quelle mesure la force d’une argumentation se nourrit-elle de l’expérience vécue ? Vous développerez votre propos en vous appuyant sur les textes du corpus, sur les œuvres que vous avez étudiées en classe et sur celles que vous avez lues.
1- Lecture et analyse du sujet et des mots clés (surlignés en jaune) : « La force d’une argumentation » c’est son efficacité à convaincre et / ou à persuader ; « l’expérience vécue », c’est dans le cadre d’une argumentation, le recours à des passages narratifs qui ont valeur d’illustration, d’exemple : l’expérience vécue peut se décliner en expérience réelle (autobiographie, écriture de soi au sens large...) ou en expérience fictive (apologues...).
2- Observation de l’expression introduisant le sujet : « Dans quelle mesure... ? ». On emploie cette tournure introductive dans une question quand on attend un développement de la thèse (ici : la force de l’argumentation se nourrit de l’expérience vécue) suivi d’un développement, qui en analyse les limites ou les conditions. On s’attend donc à un plan de type dialectique : « oui », « mais ».
3- Au brouillon, on peut lister tous les textes argumentatifs que l’on connait et que l’on va convoquer dans notre devoir. On peut ainsi mettre sur sa table le corpus précédent sur le bonheur et éventuellement ceux que l’on a travaillé en Seconde pour avoir une base. Les élèves redoublant reprennent leur descriptif de l’année précédente et se remettent en mémoire les textes étudiés en Argumentation (OI et GMT).
4- On essaie d’énumérer les raisons qui font qu’une expérience vécue rend une argumentation plus efficace (thèse). Toutes ces raisons seront les arguments de votre première partie : Je vous donne quelques idées pour vous aider mais je vous demande de ne pas dépasser trois arguments par partie. A vous d’en trouver d’autres encore :
Le récit d’une expérience vécue rend