La sérendipté est en français un néologisme dérivé de l’anglais « serendipity », un terme introduit par Horace Walpole pour designer des découvertes inattendues. La sérendipté est un mot qui désigne couramment le fait de trouver quelque chose d’intéressant de façon imprévue, ou en cherchant autre chose. Le corpus proposé entretient un rapport direct avec le thème le détour dans une amplitude chronologique qui va de 1959 a 2008. Selon Osborn, il qualifie la sérendipté comme une espèce de chance provenant en fait de l’effort qui permet a l’homme de s’orienter vers des découvertes inattendues tandis que Jean-Marc d’après son texte s’intitulant « Le chercheur, le crack et le cancre », expose la sérendipté comme quelque chose de bénéfique d’où un chercheur utilise l’errances de la recherche étant une initiation professionnelle jusqu’au jour où il arrive a trouver la solution exacte. Jean-Luc quant a lui démontre la sérendipté comme un bien vital lequel a permis les chercheurs comme Alexander Fleming de découvrir le premier antibiotique notamment la pénicilline et de même pour Charles Goodyear pour la découverte du caoutchouc qui laissa traîner un pot de sève d’hévéa sur un poêle et découvrit ainsi la pneumatique. A ce sujet on peut noter des convergences entre l’analyse de Jean-Luc et la photographie d’Andrey Kiselev s’intitulant « Profession » datée en 2008 qu’à travers le hasard la personne qui se trouve dans la photo peut effectivement concrétiser à une nouvelle découverte inattendue. Cela nous amène a poser une question : Quelle est l'importance du facteur chance dans le travail de recherche scientifique ? Dans un premier temps nous analyserons l’importance du facteur chance dans le travail de recherche scientifique et dans un deuxième temps nous étudierons la difficulté de l’errance de la recherche.
Le facteur chance est considéré comme un élément essentiel concernant les recherches scientifiques. A en croire Jean-Luc, en faisant des recherches sur quelque