La science rassure, l'art trouble
L’homme a faim, l’homme a soif !
Faim de réponse à ses interrogations, ses problématiques dont il est prisonnier chaque jour de son existence et soif d’idéal, de calme, de paix, de liberté lui permettant de sortir d’un cadre dicté par d’incontournables vérités.
De ce point de vue nous pouvons donc trouver un fort équilibre dans le besoin d’une personne entre l’art et la science.
Si la science tente de faire ressortir une explication cachée à certains phénomènes, on peut trouver une similitude avec le principe de l’art qui dissimule souvent un message fondu dans une représentation parfaite d’une image sortie de l’imagination de son artiste.
De plus, la science se hâte à découvrir des solutions pour améliorer ou repousser certains points ou limites naturelles de la vie et cela n’est-il pas indirectement aussi une façon de conduire l’homme vers un idéal et donc vers le reflet de l’art ?
Sans oublié le fait que la science évolue avec un système dans lequel nous vivons tous mais qui nous dépasse et dont nos connaissances restent encore limitées en bien des matières, amenant quelque fois des erreurs et parfois même le bouleversement de faits que l’on croyait métriser engendrant de nouvelles questions, réflexions ou en d’autres mots pouvant nous laisser troublés.
Alors est-ce que, dans cette citation « l’art est fait pour troubler et la science rassure » du peintre Georges Braque, les termes on bien étés attribués ? Et bien c’est ce que nous allons essayer de démontrer.
Si une personne malade dont elle ignore son mal, va chez le médecin, celle-ci a de fortes chances d’en ressortir plus orientée. Ceci est dû au fait qu’avant la consultation, cette personne était confrontée à deux inconnues, la première étant la nature de son mal et la seconde la gravité de ce dernier et selon l’expérience et les connaissances d’un médecin le mal peut être identifié. Généralement le fait que nous soyons confrontés à un mal qui est déjà