La quête d'alexandre
(S.A.) Dans le roman « La quête d’Alexandre », la religion est omniprésente au quotidien. (S.P.) Elle façonne la vie des personnages principaux et secondaires dans leur moindre geste et fait, les guide dans la quête de leur destinée et pousse à agir contre le désir humain. (S.D.) C’est de cela qu’on parlera dans ce texte.
La prêtrise - imposition de la famille ou choix personnel (I.P.) Devenir prêtre ou être l’heureux élu parmi tous les paroissiens était tout un honneur car ce privilège ouvrait les portes du ciel à toute la famille. (I.S.) Étant de nombreux enfants, le père et la mère pouvaient se permettre de sacrifier l’enfant qui éprouvait de la facilité dans ses études et qui n’apportait pas une aide suffisante aux travaux (agricole) de la ferme. Alexandre est dans l’obligation d’obéir au désir de sa mère, pieuse, d’autant plus qu’il fut recommandé par son institutrice comme étant un élève intelligent. Choisir de servir Dieux était également une échappatoire quand survenait la perte d’un amoureux ou d’une amoureuse. L’acte de sacrifice était bien accueilli malgré la perte (de sa chair) d’un enfant qui ne pourrait plus transmettre l’héritage génétique.
Être un bon catholique Pour réussir à gagner son ciel, tout paroissien n’avait qu’à obéir au discours de M. Le Curé et d’assurer une piété exemplaire. Tous les dimanches, l’église est remplie de ses fervents paroissiens priant le bon Dieux et récitant la prière le « Notre père ». La vie humaine s’échelonne aux grés des cérémonies telles le baptême, la communion, le sacrement du pardon, la confirmation, le mariage et l’extrême onction alors qu’on fait ses Pâques, réciter le chapelet, Selon les saisons, se jouent à toutes les saisons. Faire ses Pâques, réciter le chapelet, rel Appartenance, assimilation et