La pluralité des cultures est elle un obstacle à l'unité du gere humain
Des débuts prometteurs
Né à Brookline (Massachusetts) le 29 mai 1917, John Fitzgerald Kennedy grandit au sein d’une riche famille catholique. Ambassadeur des Etats-Unis en Angleterre, son père lui offre une excellente éducation. Rapidement, John Kennedy montre des aptitudes très satisfaisantes dans sa scolarité. Malgré une interruption dans son parcours – il attrape la jaunisse – le jeune érudit intègre l’université de Harvard en 1936. Après avoir présenté sa thèse sur l’intervention britannique dans le cadre des accords de Munich, il obtient son diplôme avec mention.
Au sortir des études, le jeune homme énergique désire s’enrôler pour servir son pays. Il intègre la marine et s’immerge dans les combats de la Seconde Guerre mondiale. Nommé officier commandant d’un lance-torpilles dans le Pacifique, il est chargé d’anéantir un bâtiment japonais en 1943. Mais son navire sombre avec l’équipage. Sérieusement blessé, il jouit à son retour d’une image héroïque.
Un jeune Kennedy ambitieux
À la fois conseillé et influencé par son père, Kennedy se lance dans la politique en 1946, parallèlement à sa carrière de journaliste. Membre du Parti démocrate, il espère obtenir un siège de représentant à la Chambre, ce qui se produit en 1947. Sa vivacité d’esprit, sa détermination et son charisme le propulsent au poste de Sénateur du Massachusetts en 1952.
Très vite, Kennedy sait se faire un