La parure
Dans l’histoire de la parure, Maupassant dénote une opposition entre deux mondes : celui des bourgeois et celui des ouvriers. Il met en parallèle le monde de pauvreté et le monde de luxe et de richesse. Ce contraste sociopolitique typique du 19e siècle est démontré à travers les personnages principaux, Mathilde et Mme Forestier.
Mathilde Loisel est une femme qui est « née dans une famille de commis et d’employés » et qui a épousé « un petit commis de du ministère de l’Instruction Publique. Malgré le bonheur du couple et un bon mariage, Mathilde insiste sur son idéologie qu’une bonne reconnaissance sociale est basée sur la richesse et sur des objets matérialistes. Elle a honte de sa provenance sociale et désir toujours à appartenir à une classe plus prestigieuse. Maupassant décrit aussi la simplicité de la classe des employés et le met en parallèle à la vie de luxe et de richesse. Il décrit la simplicité du logement de Mathilde en décrivant comme étant « antichambres muettes et capitonnées » en opposant « les grands salons vêtus de soie ancienne ». Il démontre son point de vue réaliste en décrivant le logement de Mathilde qui paraît pauvre et simple en comparaison des lieux luxueux décrits dans la première partie de l’histoire.
Les thèmes du plaisir et du succès sont pertinents à cette histoire et se répètent souvent lorsque Mathilde partage son rêve d’appartenir à la classe bourgeoise. Le narrateur utilise des métaphores pour décrire le bonheur de Mathilde comme « elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir». Le narrateur essaye de démontrer comment Mathilde est transportée par cette idée et oublie sa vie quotidienne et son vrai statut.
Le conte de la parure porte aussi sur la jalousie d’une classe pauvre envers la société bourgeoise en espérant appartenir à une reconnaissance sociale. Ceci est décrit par la jalousie de Mathilde envers Mme Forestier, qui appartient à la société bourgeoise. L’histoire débute en décrivant