La monnaie unique doit on refgretter le franc
L’EURO COMME INCITATION A LA MOBILITE GEOGRAPHIQUE
---------------------------------------------------------I&E Consultants / Ipsos -------------------------Septembre 2002
Contacts : Coralie CAZEILS 01-53-68-45-13
METHODOLOGIE
Sondage effectué pour :
Information et Entreprise Consultants - Observatoire THALYS
Date du terrain :
les interviews ont été réalisées du 13 au 20 septembre 2002
Echantillon :
échantillon global de 3 484 personnes âgées de 18 ans et plus, national représentatif de chaque pays : Les interviews se répartissent ainsi : France : Allemagne : Belgique : Espagne : Italie : Pays-Bas : Royaume-Uni : 465 personnes 491 personnes 500 personnes1 509 personnes 506 personnes 507 personnes 507 personnes
Méthode :
les interviews ont été conduites par téléphone, au domicile des personnes interrogées.
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dont : Francophones 250 / Néerlandophones 250
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PRINCIPAUX ENSEIGNEMENTS
I.
L’impact de l’euro : un sentiment de proximité en progression
Près d’un an après la mise en circulation de la monnaie unique, comment les Européens se positionnent-ils sur l’impact de l’euro et surtout, ont-ils changé d’avis par rapport à mai 2001 ? En fait, la hiérarchie des points de vue ne diffère pas de celle de l’enquête précédente et les perceptions restent majoritairement axées sur une influence macro économique de l’euro : là où plus du tiers des Européens imaginaient que celui-ci stimulerait les échanges économiques entre pays (39%), les perceptions se maintiennent : 42% estiment aujourd’hui que l’euro a essentiellement entraîné davantage de transactions, argument qui reste en tête des autres propositions. Toutefois, un changement mérite d’être souligné : en mai 2001, les Européens se montraient relativement circonspects quant à l’opportunité de création d’une culture paneuropéenne, qui réunissait cependant un cinquième d’entre eux (20%) ; aujourd’hui, si cet argument reste en retrait comparé à