« Une des raisons pour lesquelles la main invisible est invisible, c’est peut être qu’elle n’existe pas » dit Joseph Stiglitz. En économie, le marché, lieu où des vendeurs se réunissent pour proposer leurs produits aux consommateurs, doit fonctionner de façon optimale c’est-à-dire que le consommateur et l’acheteur soient entièrement satisfait. Pour cela, le marché doit respecter un certains nombres de règles, ainsi que les normes et les valeurs de chaque individu pour qu’il soit le plus moral possible. Pourtant, certains aspect du marché restent flous sur le respect de celles-ci. C’est pour cela qu’il s’agira de voir si le marché est moral ou non. Après avoir vu que la mondialisation est violente nous verrons le triomphe de la cupidité selon Joseph Stiglitz puis la loi du plus fort et pour finir la confusion des ordres.
Pour conclure, grâce à nos arguments nous avons pu voir plusieurs aspects du marché qui prouvent que le marché n’est pas moral. L’homme qui fait vivre l’économie est le seul responsable de ces disfonctionnements car il met de côté certaines règles et certaines normes qu’il devrait respecter afin que le marché fonctionne de façon optimale. Le marché laisse donc la morale de côté pour dégager toujours plus de profit au détriment de tout le reste. Nous pourrions alors débattre une nouvelle fois pour montrer que le marché va a l’encontre de la moral mais qu’il est plus précisément amoral, il est étranger à la morale il ne connaît pas les conséquences de ses