La légalisation de l'avortement au maroc
Infections, hémorragies importantes, rupture de la poche des os ou même des tas d’empoisonnement sont dues à la non légalisation de l’avortement.
Il est temps que la loi change, il faut un assouplissement de cette dernière et une légalisation de l’avortement.
• L’objectif donc est une légalisation de l’avortement en cas de viol, d’inceste, de maladie mental, de mal formation fatale ou problème de grossesse non désirée.
• Ça arrive à toutes les souches et les couches de la société d’avorter clandestinement.
• Légaliser l’avortement c’est sauver une couche qui est déjà dans la misère, la pauvreté et qui enfante des enfants dans les mêmes circonstances.
• Nous voulons que le fait d’être maman soit pour toutes les marocaines une joie et jamais plus une tragédie.
• Au Maroc, le nombre de grossesses non désirées est évalué à un millier par jour et leurs circonstances diverses
• La loi sur l’avortement a été relativement libéralisée pour la première fois en 1967 au Maroc. L’article 453 du code pénal a été modifié par un décret royal (en juillet 1967) pour prévoir que «… l’avortement n’est pas puni lorsqu’il constitue une mesure pour sauvegarder la santé de la mère». Et d’ajouter: «… il est ouvertement pratiqué par un médecin ou un chirurgien avec l’autorisation du conjoint». Autrement, en l’absence du mari, en cas de son refus ou du moins par défaut de consentement, l’avortement est illégal, selon le code pénal. Sauf si le médecin chef de la préfecture ou de la province est saisi par le médecin ou chirurgien censé intervenir. Lequel doit impérativement attester que « la santé de la mère ne peut être sauvegardée