La lezarde
C’est une histoire d’un groupe des jeunes révolutionnaires; Thaèl (Raphael Targin), Mathieux Beluse, Mycea (Marie Celat), Pablo (Paul Basso), Margarita (Marguerite Adole), Luc et Gilles qui vivent à Lambrianne, dans une ile tropicale autour de la rivière Lézarde. Cette jeune bande veut une indépendance.
Le long isolement impose par la guerre – qu’avait accompagné une réflexion sourde, irrésistible et continue, sur les destins de la cite, et qu’avaient suivi l’éblouissement d’une nouvelle ère, la sensation presque physique d’un trou d’air et d’une envolée avait muri ces jeunes gens. La politique était le nouveau domaine de la dignité. Par un accomplissement, une nécessite inexorables, toutes cette génération avait abandonné la naïve crédulité des anciens, dépouille le vêtement de l’illusoire ressemblance, pour affirmer enfin que l’homme d’ici n’était qu’a sa propre semblance. Les mots prenaient dans ces bouches une saveur toute neuve : il y avait là du soleil, du rêve débride, une passion de connaissance, et la rage de ceux qui savent contre ceux qui oppriment p.19 Ils luttent pour une libération contre la statue politique qui exploite et opprime le peuple. Ce groupe est une opposition, qui veulent mettre fin à leur souffrance. Ils veulent un remède en rejetant l’assimilation qui défendait que leur propre intérêt personnel. Alors, ils éveillent leur peuple,
Mathieu et ses amis avaient propage la doctrine des libertés, sans vouloir se limiter… p 19
Ils lisaient tout ce qui venait d’ailleurs, du monde. Ayant appris à ouvrir les yeux sur l’inconcevable misère de ce pays p 20 Ils organisent une révolte pour retrouver leur libération.
Le temps est venu de n’avoir plus peur. Ils nous ont enfermés dans la mer comme des rats dans un cagibi. Mais nous avons féconde le cagibi, avec notre sueur et notre sang. Il est à nous. La misère est un vieux camarade. La question est claire comme l’eau de roche. Il n’y a pas de séparation plus nette : c’est la pure