La fête un temps hors norme?
Pour faire la fête, il faut qu’il y ai plusieurs individus rassemble en un même lieu. L.MOLET explique dans son essai «L’année sociale, la fête et les rythmes du temps» Tome 1 de L’Histoire des Mœurs, que la fête est synonyme de promiscuité, elle permet à un groupe de personne de se souder. Yannick Noah dans son interview pour le Nouvel Observateur s’accorde à dire qu’une fête et en premier lieu un rassemblement. On peut donc voir dans la photographie extraite du film de C.KLAPISCH L’Auberge espagnole, une illustration aux explications de MOLET, et à la définition de Y.NOAH, puisque les jeunes touristes sont rapprochés pour former un groupe afin de partager les mêmes choses. A l’inverse Michel MAFFES0LI utilise des propos plus négatif pour répondre aux questions sur la fête de J-C RASPIENGAS pour son article parut le 1 août 1999 dans Télérama, afin d’illustrer par les mots le fait que les gens se colle les uns au autres pendant les fêtes, il emploi le terme « viscosité » terme péjoratif, MAFFESOLI laisse donc entendre que les fêtes le repousse ou que la proximité des gens ne l’attire. Mais tous évoque un même aspect commun, la fête est un rapprochement physique. Lors des fêtes, que ce soit L.MOLET ou NOAH, tout deux s’accorde sur le fait que