Conversation au restaurant avec une amie unefemme de 50 ans dirigeant industrielle à trèshaut niveau. Il me raconte de lui et de son travail.Mais surtout il me parle du fils. Le jeune pas il y à le manager comme la mère. Il a étudié mais il n'a pas voulu un travail de col blanc. Et heureuxde son métier. Et chef dans un petit restaurantdehors ville. La mère est contente orgueilleusede son garçon qui gagne et d'é satisfait. S'il avait été un employé même de bon niveau d'uneentreprise pas il aurait été trucs pleind'enthousiasme.comme il avait coutume dire premières lève « lesamères son travail (qui malheureusement é unprivilège de peu) constitue la meilleureapproximation de félicite sur la terre. » Même the financial times la bible du businesscommunity interzionale é déclaré enthousiaste.En effet il a dédié la couverture de sonsupplément au travail manuel. Dans le reportageils ont été sentis qui n'ont pas été assis à unbureau. Un hydraulique : « Il me plaît ce travail.Je connais des gens me cherchent ne sont pasjamais seulement gain ». Un mécanique : « etcasse-pieds est dans en bureau au téléphone ouà l'ordinateur. Mienne « job satisfaction » et trèshaute. Invitation à éprouver qu'est-ce que on sentà réparer bien un taxi défoncé d'un camion ».Le travail manuele de l'artigiono du technicospécialisé de l'artiste capable de dessiner et de construire tout seul un objet du cuisinier quivoudra être chef é un ensemble de pensée et de l'action. La pensée ne doit pas se considérer uneactivité séparée du travail manuel. Mani habileset esprit habile : une belle