Effectivement, les patients rencontrent beaucoup de problème quant à l'accès aux soins dans les espaces ruraux, comme nous pouvons le voir le temps d'attente est très long, on constate une attente de plus de 2 mois et les rendez vous dure de moins en moins longtemps et donc sont moins approfondie ce qui donne une baisse de la fiabilité de la médecine exercées, de plus les médecins consulte environs 40 fois par jour ce qui est beaucoup trop de plus les patients doivent parfois faire beaucoup de route soit environ 60km en causes les médecins spécialisée même généraux sont de plus en plus dans les grande ville et non dans les campagnes profonde, Par exemple dans les Vosges en 2005 il y avait 48 médecins pour 100 000 habitants alors que au niveau nationale il y en avait 88 pour 100 000 habitant, de plus on constater 15 pédiatre et 12 dermatologue ce qui est très peu . en effet les médecins étudiants apprennent une pratique hospitalière. Ils ont du mal à quitter l’hôpital et surtout à travailler seuls, loin des collègues. Les jeunes cherchent à travailler en équipe. Ensuite, nous assistons à une évolution social du travail, dans laquelle libéralisme et indépendance ne vont plus de paire. Et puis enfin, le recrutement des futurs médecins s’est élargi. Aujourd’hui, si les médecins sont toujours issus des classes favorisées, ce sont plus souvent des enfants de cadres, d’enseignants ou de fonctionnaires. Ils ont plus une culture de service public. C'est vrai, les médecins veulent pratiquer une médecine de proximité mais plus sur le modèle de leurs aînés.
En outre les jeunes se tournent davantage vers le remplacement. C’est la liberté que ne donne plus l’exercice libéral exercé seul dans son cabinet. Et les aides à l’installation ne vont pas y changer grand-chose « Ce n’est pas pour une question d’argent que les jeunes diplômés ne vont pas dans ces zones. Ils préfèrent GAGNER moins, mais aller en ville. » En revanche, les maisons pluri professionnelles