La non-discrimination à l’embauche.

La discrimination à l’embauche est un véritable problème de société. Nous allons tenter de savoir comment pouvons-nous arrêter le phénomène de la discrimination à l’embauche ? Les origines, la couleur de peaux, les handicapes … ne devrai pas constituer des critères d’embauche. Toute décision de l’employeur doit être prise en fonction de critères professionnels et non sur les considérations d’ordre personnel.

Dans une première partie, nous verrons la définition de la discrimination à l’embauche, et les principes de la non-discrimination à l’embauche. Dans une seconde partie, nous verrons les différences de traitement tolérées, et enfin les sanctions encourues en cas de discrimination avérée.

Une discrimination à l’embauche est une discrimination évoquée lorsque des chercheurs d’emploi sont traités de manière différenciée sur une base de critère sélectifs qui manque de justification objective et raisonnable à l’égard du poste de travail à pourvoir. Le principe de la non-discrimination à l’embauche précise qu’un employeur ne peut refuser d’écarter d’un recrutement en raison : D’une origine, d’un sexe, d’un mœurs, d’une orientation sexuelle, d’un âge, d’une situation familiale, d’une grossesse, de caractéristique génétique, d’une appartenance à une ethnie, à une nation, à une race, d’option politiques, d’activités syndicales, d’une religion, d’une apparence physique, d’un patronyme. Un état de santé ou un handicap ne doivent pas non plus être discriminatoires sauf si le médecin du travail a émis des réserves sur l’inaptitude du candidat à l’embauche. Quelques exceptions peuvent être admises sur le sexe ou l’âge du candidat (Travaux dangereux interdits pour les femmes, personnes trop jeunes pour occuper tel emploi). De même, le candidat a droit au respect de sa vie privée et personnelle et les informations qui lui sont demandées doivent être strictement en rapport avec le poste auquel il postule pour apprécier ses capacités