La classe ouvrière au xix et xxè siècles
Au XIXè siècle et début du XXè siècle, la classe ouvrière, née à cause de l'industrie, vit et travaille dans des conditions exécrables : saleté, manque de logement ou de place, famille trop nombreuse pour le budget mensuel, règles trop exigeantes, durée de travail exagérée, etc. Suite à l'analyse des document spécifiés dans la consigne, voici ce que nous en retiendrons.
Chez les ouvriers, beaucoup de femmes travaillent autant, si pas plus que les hommes, dans un confort inexistant (chaise en bois sans dossier par exemple). La durée de travail varie entre 8 et 15 heures par jour (12h en général).
Le salaire est souvent insuffisant pour subvenir au besoin d'une famille (exemple : une famille vivant juste avec le salaire du père ne tient pas du tout un mois sans problème. Il faudrait au moins 2 salaires pour tenir tant bien que mal et encore cela dépend de ce salaire). Un salaire mensuel d'un adulte varie entre 50 et 200 francs et celui d'un enfant entre 10 et 60 francs et les besoins de la famille entre 80 et 250 francs ce qui évidemment est peut correct si la famille reçoit le salaire minimum avec des besoins plus important que le salaire lui-même.
Un ouvrier est considéré en tant que tel à partir d'un certain âge d'entrée. Certains métiers autorise l'entrée à 5 ans (exemple : charbonnage, forge, tissage, métallurgie, etc). Dès cet âge, l'ouvrier reçoit son livret d'ouvrier où la majeur partie de ce qu'il a fait au cours de sa carrière est inscrit. Si un ouvriers souscrit au règlement de son établissement, ce sera noté dans son livret et sanctionné par un retrait d'argent proportionnel à la faute commise voir même un retrait de travail.
Les conditions de vie des ouvriers sont durs : trop petites maisons pour des familles aussi nombreuses. Ceci entraîne pas mal de désagrément comme une hygiène déplorables (2 latrines par une rue entière comptant plus de 120 personnes), les maisons sont délabrées, vielles,