La chine depuis début années 80
A. Par l’espace et le nombre
B. Une civilisation qui a modelé l’Asie orientale
C. Une position géopolitique propice
• Une tradition impériale ancienne
• Des arguments actuels : capacités militaires, contacts avec tous les sous-ensembles qui font l’Asie
II. Le dynamisme économique du pays s’inscrit dans les dynamiques asiatiques
A. La stratégie mise en oeuvre depuis 1979 s’inspire des NPIA voisins
• Elle fait appel à des mesures identiques
• Elle repose sur des caractéristiques semblables du côté de la main-d’oeuvre et de la société.
B. Une grande part des capitaux attirés viennent d’Asie : rôle des groupes japonais, de la diaspora chinoise, directement ou via Hong Kong ; de Taïwan
C. Les flux commerciaux s’intensifient avec le reste de l’Asie, dans les deux sens : rôle croissant du Japon, mais aussi de l’Asie du Sud-Est
III. L’évolution place la Chine au coeur des mutations asiatiques
A. Elle dispose d’atouts qui la mettent au centre de l’économie régionale
• Taille de son marché intérieur ; capacité de recherche-développement…
• Sur ces bases, Pékin devient un acteur clé des efforts de structuration de l’Asie orientale : cf. son partenariat avec l’Asean
B. Le pays affirme des ambitions de puissance
• Volonté de réunifier les Chine ; intérêt pour l’Asie centrale ; rôle de médiation dans la crise coréenne
C. Il y a des obstacles
• Internes : tensions sociales, régionales et distorsion entre modernisation socio-économique et immobilisme politique • Vis-à-vis de l’extérieur : la montée en puissance du pays inquiète ses voisins et fait naître des tensions avec le Japon, comme en avril 2005, l’Occident (cf. sur les exportations textiles) ; en Asie, l’ambition chinoise est contrecarrée par la forte présence du Japon et des