La bête humaine
Paratexte : Zola 2e moitié du 19 e siècle : réaliste et naturaliste. La bête humaine fait partie de la grande fresque humaine des Rougon- Macquert.
L’incipit : l’action se situe dans l’univers ferroviaire qui est moderne.
Axes : I) Aspects de l’incipit II) Realisme
I) – Indice spatiaux temporel : très précis, nom de rue, pleins de points de repères . * Dans un passé indéterminé, écrit au passé . * Epoque contemporaine, Zola précise qu’on est fin février. * Les personnages : Zola instaure familiarité en appelant Roubaud par son prénom. * Mère victoire : Personnage secondaire, certainement gouvernante. * Roubaud Chef de gare : moderne et respectable. Apporte nourriture populaire. * Milieu populaire mais pas misérable. * Narrateur : Zola, externe, et interne car nous passons par le regard de Roubaud pour admirer la gare Mise en abyme/en perspective. Dirige le regard du lecteur par le quartier décrit. * Vocabulaire d’une extrême précision, beau langage. * Incipit qui nous donne tous les renseignements attendus.
II) – Bcp d’adjectifs, très détaillés, complément du nom. * Les effets de réels sont multiples : Lieux réels ici. * Il emploie un ras d’images expressives . Paysage très étendu , a 180 degrés par l’intermédiaire de Roubaud. * Paradoxe : Zola utilise en littérature méthode de ses amis impressionnistes . * 2 interprétations contemporaines : * Impressionnisme : mouv pictural, de la 2e moitié du 19e s, qui s’attache a reproduire une impression plus un sujet lui-même (anecdote de Monet a Londres, Levet du soleil). * S’intéresse aux vibrations et aux effets de la lumière. Cadrage en point de vue particulier. * Le point de vue de R est : la plongée . Il est au 6e étage, voit s’étaler toutes les voies et la gare St Lazare. * Zola s’intéresse ici a la lumière. L’utilisation des couleurs. Paysage de gris , et une unique tache rouge . * La