La bataille de waterloo, lettre
Fabrice Del Dongo,
A ma bien aimée, à Waterloo, le 18 juin 1815,
Ma tendre et douce Joséphine,
Je t'écris du champ de bataille. J'ai rejoins la bataille de Waterloo pour me battre avec courage et dévouement. Aujourd'hui, j'ai vécu mon premier combat, je me suis battu contre des cavaliers Prussiens.
Dans la forêt, les combats fesaient rage. Je décidais à mon tour de chargé mon fusil. J'entendis des coups de feu tirés de mon côté et apercevais au loin, un cavalier vêtu de bleu sur un grand cheval noir qui se dérigait vers moi. J'appuya sur la détente et abattu l'homme. Il tomba de son cheval, je m'approchais de lui, puis m'accroupis, je me rendis compte que j'avais réussis à atteindre ma cible. Une seule balle avait suffit.
En relevant la tête, j'apercevais au loin, droit devant moi, deux autres cavaliers qui arrivaient au galop. Tout près de moi se trouvait des buissons, j'alla m'y cacher et jeta mon fusil car il n'avait plus aucune utilité pour moi, la gachette s'était enrayée.
Je décida de surprendre les chevaux dans la nuit tombante, quand ils seraient à ma hauteur, pour les faire fuir. Quelle surprise ! Quand les chevaux me virent jaillir des buissons, ils se cabrèrent, fuirent aussitôt. Une fois de plus, ma stratégie et ma force furent récompensées.
Les cavaliers dans leur fuite tirèrent cinq ou six balles qui passèrent près de moi, grâce à mon agilitée les coups de fusils ne m'atteignirent pas.
Le Caporal Aubry me rejoint et me félicita de mon courage.
Fabrice, ton héros, qui pense à toi .