L'étranger d'albert camus, commentaire
S’ajoute à cela la condition physique de K. qui ne lui permet pas de tenir dans cette nuit glaciale, mais aussi à suivre les pas d’un homme, car même durant la journée « la neige l’avait déjà paralysé ». Tout se stresse accumuler depuis le début le place dans un doute méthodique, par les nombreuses réflexions qu’il mène, mais le silence de Barnabé est pesant puisqu’il ne fait aucune manifestation lexicale. Le décor ou du moins le paysage est inconnu aux yeux de l’étranger « ils allaient donc, mais. K. ne savait, où ; il ne reconnaissait rien » l.9. Si l’on visualise la scène avec tous les éléments présentés jusqu’à maintenant on pourrait croire qu’il allait se passer un crime et K. n’est autre que la …afficher plus de contenu…
-A la maison ? ». 2. Analyser l’irruption du souvenir dans la séquence ?« K. ne l'avait jamais vue ainsi ni auparavant ni plus tard, il avait réussi enfin à sauter le mur avec une facilité surprenante à un endroit d'où il était souvent retombé » l.17-18, c’est l’un des moments clé du souvenir puisqu’il montre K qui réussit à franchir le mur qui était un obstacle à surmonter. Dans ce souvenir, il apparaît comme un colonisateur puisqu’il plante son drapeau « Il avait planté son drapeau » l. 20 ainsi pour marquer la réussite et montrer qu’il est maître du mur. Cependant le mur lui laisse lui aussi une trace, car il se blesse en sautant. L.24-25 « La, sensation de sa victoire lui avait donné sur le moment l'impression d'une sécurité qu’il garderait toute sa vie » est aussi un moment clé