L'élévation de l'élévation de la terre selon les liaisons dangereuses
A la fin du 2° vers, l’esprit du poète c’est suffisamment éloigné de la Terre pour voir d’elle ses principaux constituant : les « mers » et les océans. A l’issue des vers 3 et 4, il atteint les régions sublimes de l’Idéal : tout d’abord « les éthers », décrit par les anciens comme la partie supérieur de l’atmosphère formée d’un air rarifié et enflammé, ce qui éclaire le futur oxymore « feu clair de verdouze », « les espaces limpides » des « sphères étoilées », espaces d’une très grande pureté. Le mouvement ascensionnel sans suit d’un déplacement souple et coulé, d’une évolution agréable de l’esprit dans l’espace …afficher plus de contenu…
De même, la joie extatique décrite dans la 2° strophe ainsi que l’adresse solanelle à l’esprit via l’apostrophe du début du 5° vers renforcent le mysthissisme du poème.Mouvement2 : L’envol est exaltant car il est semblable ou vol des « alouettes ». Ce dernier symbolise l’élan du poète mais aussi des autres hommes vers la joie. Affranchie des mystère terrestres, l’esprit est invité à accéder à un lieu pur, saint comme le prouve les adjectifs épithètes : « supérieur », « pur », « divine » et « limpide » et où les éléments se confondent et [correspondent]. L’air prend la forme d’une vaste étendue d’eau, où le feu lui-même est un liquide qui se boit et « rempli » l’espace