Si notre vie est moins qu'un journée - Analyse
L’analyse d’un poème
03/10/14
Le poème « Si notre vie est moins qu’une journée » est un sonnet superbe par Joachim du Bellay en 1550. Le sonnet est divisé par deux quatrains et deux tercets qui consistent en décasyllabes. Les rimes du poème sont embrassées pour les deux quatrains et le dernier tercet, mais sont suivie dans le premier tercet. Au début, les quatrains posent la question de la brièveté de la vie et l’emprisonnement de l’âme sur la terre. Dans les tercets, le poème change de ton et décrit les raisons de l’âme de voler vers le plus haut ciel. Les mots que Du Bellay choisi d’utiliser dans son poème sont très spécifiques et raisonnés. Par exemple, les mots dans les quatrains signifient la différence entre la bonté du plus haut ciel et les maux de la terre. Quand il discute la terre, il utilise les mots comme « périssable » « emprisonnée » et « sans espoir ». Aussi, « Si périssable est toute chose née, » c’est-a-dire « Si toute chose née est périssable. » Du Bellay a mis le mot « périssable » au début du vers de placer l’accent sur la naissance plutôt que la mort en ordre de montrer la distance immense entre l’âme et le plus haut ciel. L’idée du plus haut ciel étant hors de la portée est également démontrée dans la répétition du poème du mot « là ». Ce n’est pas ici. C’est là. Le mot est utilisé cinq fois dans les tercets juste au cas où le lecteur ne comprend pas. Le répétition de « em- » dans the deuxième quatrain avec les mots « emprisonnée » et « empennée » évoque l’idée contraire partout le thème. Son âme ailes plumeuses est emprisonnée sur la terre. Pour contraster cela, il y un assonance de la voyelle « i » de certains mots dans les tercets. Les mots « esprit » « désire » « aspire » « plaisir » et « l’Idée », tous suggèrent la vie éthérée que nous aspirons. La position des mots dans ce poème est important, mais aussi les rimes. Au début du poème Du Bellay parle de la circularité sans fin de la vie. La rime des mots « jour »