Karl Marx
Dans une première partie du texte (ligne 1 à 4), Marx commence par souligner que l’invention des machines est « le point de départ de la grande industrie », c’est-à-dire de la révolution industrielle au sein des usines.
Les effets de « cette révolution sur l’ouvrier » sont expliqués dans la seconde partie du texte (ligne 5 à 12) : le machinisme permet au capital de se passer de la force musculaire, privant ainsi le père de famille de cette force par sa mise en concurrence avec sa femme et ses enfants : « du travail de femmes, du travail d’enfants ! ». Le machinisme augmente le nombre des salariés qui sont mis en concurrence les uns contre les autres, ce qui a pour conséquence de diminuée la valeur de la force de travail de l’ouvrier. Cette diminution conduit à ce que toute la famille soit désormais exploitée.
La dernière partie de texte (ligne 13 à 21) est consacrée à la théorie de plus-value qui pour Marx signifie être la valeur du surtravail, c’est-à-dire du travail non payé accompli par le travailleur pour le capitaliste. Dans cette partie, l’auteur démontre qu’en achetant toujours plus de travailleurs le but des capitaliste est de crée d’avantage de plus-value. Donc la machine étant présentée comme un moyen de production qui permet l’embauche de nouveaux travailleurs et de répartir les tâches de travail au sein des usines pour diminuer la peine de travail et augmenter la productivité, a pour double conséquences d’augmenter le taux d’exploitation des salariés.
2) a - Au sens économique habituel, le travail est l’activité