Justice et force
Pascal s'interroge sur relations / rapports justice-force
→ plusieurs combinaisons possibles → cela peut sembler plutôt normal pour un mathématicien (triangle de pascal)
→ relations existantes entre institution sociale, purement crée par les H sensée assurer l'égalité de tous, et une loi naturelle, innée. → insitstance de la nécessité de l'existence de la force /=/ justesse/ sagesse de l'existence du juste → la justice est impuissante par essence car elle ne dispose pas par elle meme et en elle meme d'1 force qui serait celle du juste.
→ titre original : Apologie de la religion chrétienne ► christianisme aurait un défaut dans la relation justice-force ? → explicable par maîtrise/contrôle de l’Église sur populations modestes (n'ayant ici pas accès à l'éducation) → force invoque sa justice par un être immatériel qui nous est supérieur: Dieu ► pour éviter éventuelles représailles à l'égard de cette personne + pour insérer un sentiment de pleine protection éternelle sur les fidèles car « Dieu nous regarde et nous pardonne ».
→ « Il est juste que ce qui est juste soit suivi » ► lier à la conscience, qu'on aille dans le chemin du juste. Pascal laisse sous entendre que le juste peut ne pas être suivi, choix possible → contingence du juste, mais seulement si la force ne s'applique pas → 1 des combinaisons.
→ au contraire : « Il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi » ► accent sur le « nécessaire » tra
→ étapes distinctes: ►Pascal place Force>justice → insistance ►explique que séparation des 2 peut pas produire qq chose de bien pour H (tyrannie ou impuissance → 2 opposés) ►émet l'idée de mise en commun pour complémentarité des 2 extrêmes → garder coté + et effacer coté - ►compare les 2 ►impossibilité de l'assimilation de la force par la justice (car initialement F>J)