Jean Guidoni
Dans ses Chansons, Jean Guidoni y a prit l'habitude de decrit un monde sombre et lugubre, remplie de tristesse. En effet, ces champs lexicaux sont très fort comme : -Dans « Alors je me suis assis » avec : « étrange »(V.4) ou « Vieilles Malédictions » (V.13) -Dans « Je marche dans les villes avec » : « La pénombre » (V.10) ou « Misere » (V.23)
-Dans « Tout va bien avec »avec : « Les morts » (V.7) ou « Le charnier » (V.50)
-Dans « Le Malbonheur » avec : « Ombre » (V.46)
Ceci dans le but de de faire une meilleure critique de thèmes comme la guerre, la misère,les amours perdus, la Mort... Comme le montre ces quatres chansons.
Dans « Tout va bien »
Ici, Cette chanson a pour thème un homme à Paris qui ecrit à sa femme. Il y décrit une capitale en ruine ou règne la misère et la guerre : « Gare Saint Lazare » (V.8) ; « L'olympia en Ruine » (V.46), « les mort » (V.7), « Barbelés » (V .66) ou encore « La seine » (V.65)
Il tente de rassurer sa bien-aimé sur sa situation en répétant sans cesse le titre de la chanson « Tout va bien ». C'est une anti-phrase qui a pour but de ironiser sur son état peu enviable. Pour designer la misère, Guidoni utilise des mots crus comme :
« Putains » (V.46),« Cadavre en décomposition » (V.58) ou « Pedés » (V.63)
Dans Je marche dans les villes
Dans cette chanson, Chaque paragraphe à la particularité de représenter un personnage différent, mais qui sont tous miséreux ou sans espoir, passant du vagabond au voyou en passant par le voleur et l'homme aux pulsions suicidaire. Ceci est caractérisé par la répétition du déterminant « Moi » à chaque début de paragraphe en idiquant qu'il il est :
Encore une fois, le champs lexical du sinistre est très fort avec : « ombre » (V.7), « Misere » (V.23) ou « Sauvage » (V.44)
Dans « Alors je me suis assis »
Dans cette œuvre, Guidoni montre se qui pourrai etre un prisonier (« Mes quatres murs »