Cette nouvelle se passe dans les années 1871 et raconte l'histoire d'un homme nommé Jacques DAMOUR manipulé par son voisin un peintre qu’on appelait Berru. Il prend donc parti pour la Commune. Pendant la guerre, l'armée versaillaise tua 20 000 Communards et 7 000 autres furent déportés. C'est ce qui arriva à Jacques DAMOUR qui partit pour la Nouvelle-Calédonie. Ce dernier était marié à une certaine Félicie et avait deux enfants dont Eugène qui mourut pendant la Commune. Jacques alors promit de le venger et Louise qui était restée avec sa mère. DAMOUR se sépara difficilement de ses proches et après deux ans de solitude il prend une barque avec d’autres anciens communards sur un coup de folie afin de retrouver les siens. La barque est retrouvée et tous ceux qui s'y trouvaient sont portés disparus. Des rumeurs disaient que notre héros était parmi les décédés mais lui, il avait survécu. Il était donc le seul à être au courant de son existence. Il part en Amérique afin d'y faire fortune. Lorsqu'il apprit que l'amnistie venait d'être voté il rentra en France plus pauvre que jamais. Par le hasard il y rencontre Berru qui le mène à Félicie remarié avec des enfants. DAMOUR décide donc de lui laisser son heureuse vie et de rejoindre sa fille Louise qui était une des bourgeoises habitait une suite de luxe dans un des hôtels les plus chics de Paris l’invitait à passer le reste de sa vie avec elle mais il se contenta de lui demander une de ses résidences secondaires. Cette dernière obéit aussitôt et Jacques reprit une vie équilibrée sans oublier qu'il avait promis à son fils de le venger !
J’ai apprécié ce livre grâce à ses passages originaux : on croyait que le héros était mort alors qu’on apprend qu’il est toujours vivant. Mais je trouve trouve la fin un peu énigmatique alors qu’on attend la vengeance de