Intraduction au web 2.0
Les deux tendances sont très intimement liées en ce sens que les solutions web 2.0 que le grand public connaît sont toutes, originairement, en mode Software as a Servce (SaaS). C’est à dire qu’aucune installation sur l’ordinateur individuel n’est requise : on accède directement à l’interface d’une application SaaS en utilisant un navigateur web, ce qui implique, comme on le verra, que les donnés soient stockées ailleurs que sur l’ordinateur, où dans le système d’information de l’entreprise. Elles sont souvent hébergées et gérées par l’acteur SaaS lui-même. Commençons par le Web 2.0.
Premier constat, dès que l’on évoque le web 2.0 dans des réunions d’entreprise, les discussions partent dans tous les sens. C’est un sujet qui souvent passionne et où chacun a sa propre compréhension, mais cet enthousiasme et cette profusion fait souvent peur aux décideurs en entreprise. Ils n’y voient que confusion et manque de maturité.
D’où la nécessité de donner une vision structurante du Web 2.0 pour mettre l’entreprise dans de meilleures prédispositions aux opportunités offertes.
Je distingue trois composantes, que je nomme souvent « l’ADN du Web 2.0″, et qui sont : la participation, la simplicité, et enfin l’ouverture des données. Voyons ce qu’elles signifient.
1. La participation :
C’est l’axe business et organisationnel du Web 2.0.
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Cet axe est très souvent mal compris ; aucune