Situation du passage :

L’institution des enfants est un petit livre qui fait partie des esses. C’est un chapitre peu étendu des esses. Dans les esses Montaigne veut quand même montrer qu’elle était ses intensions initiales :
1. c’est de montrer tel qu’il est mais avec une réserve en respectant toutes les conventions de l’époque.
2. chercher qui il est c’est le connaît toi toi-même Montaigne sait qu’il est sujet au changement. Il ne veut pas non plus chercher a persuader quelqu’un de quelque chose.

- Pourquoi a-t-il rédigé « de l’institution des enfants » ?
Il était en relation avec la famille de Comte de Foix. La fille de son ami était enceinte elle s’appelait Diane. On a demandé à Montagne de rédiger un petit ouvrage sur l’éducation des enfants.

Un enfant de maison : Au XVIème on n’a aucun envie que l’instruction soit destinée à tous. L’instructeur est confié à un précepteur.

Pour toute personne qui est noble, la notion de gain et de profit est honteuse. La personne qui est noble ne parle jamais d’argent. Un jeune noble doit étudier simplement par gout, pour la littérature ou les belles pensées.

Abject : repoussant.

Les muses sont les filles d’Apollon celle qui sont à l’origine des pensées.

Le fort intérieur, c’est la pensée propre de chaque individu, c’est le font culturel dans lequel il peut penser.
Différence entre un habile homme et un homme savant :
Dans tout le texte le mot savant désigne celui qui est riche de connaissance mais il y a une connotation péjorative, elle désigne le pédant, celui qui fait étalage de son savoir. Un habile homme c’est celui qui sait se servir de ses connaissances et qui a l’esprit pratique.
Conducteur : Montaigne était habitué à aller à cheval et l’entrainement des chevaux, la vie rurale faisait partie de son décor. Ici va commencer une métaphore filée ou le conducteur (ce conducteur est comparé avec le précepteur : c'est-à-dire que le dresseur conduit le cheval et le précepteur de la même manière