Imtroduction
En philosophie elle est la capacité à accomplir un acte intentionnel, consciemment. En droit la volonté est un concept associe a l’intentionnalité. Et enfin en politique la volonté populaire et le fondement de la démocratie. Les réflexions sur le concept volonté sont différentes. Kant parle de la bonne volonté et Aristote parle de la responsabilité.
Kant et la volonté de tout ce qu’il est possible concevoir dans le monde, et même en général hors du monde, il n’est rien qui puisse sans restriction être tenu pour bon, si ce n’est seulement une BONNE VOLONTE.
L’intelligence, le don de saisir les ressemblances des choses, la faculté de discerner le particulier pour en juger, et les autres talents de l’esprits, de quelque nom qu’on les désigne, ou bien le courage, la décision , la persévérance dans les dessins, comme qualités du tempérament, sont sans doute a bien des égards choses bonnes et désirables ; mais ces dons de la nature peuvent devenir aussi extrêmement mauvais et funestes si la volonté qui doit en faire usage, et dont les dispositions propres s’appellent pour cela caractère, n’est point bonne. Il en est de même des dons de la fortune. Le pourvoir, la richesse, la considération, même la sante ainsi que bien-être complet et le contentement de son état, ce qu’on nomme le bonheur, engendrent une confiance en soi état ce souvent aussi se convertit en présomption, des qu’il n’y a pas une bonne volonté ; pour redresser et tourner vers des fins universelles
L’influence que ces avantages ont sur l’âme et du même coup tout le principe de l’action sans compter qu’un spectateur raisonnable et impartial ne saurait jamais éprouver de satisfaction à voir que tout réussisse perpétuellement à un être que ne relève aucun trait de pure et bonne volonté et qu’ainsi la bonne volonté parait constituer la condition indispensable même de ce