immigration
• Professionnelle (mission de longue durée à l'étranger) et études ; santé
• Politique (réfugié politique fuyant les persécutions) ;
• Sécuritaire, notamment en cas de guerre dans le pays d'origine ;
• Économique (habitant de pays pauvres cherchant un meilleur niveau de vie dans les pays riches, éventuellement temporairement) ;
• Personnelle (volonté de s'installer dans un pays par goût, par exemple si l'on se reconnaît dans ses valeurs) ;
• Familiale (rejoindre le conjoint, l'enfant déjà installé).
• Fiscale (l'installation dans un pays offrant un niveau d'imposition moins élevé)
Pour les États, l'immigration peut permettre de faire face à un déficit des naissances ou encore assurer une quantité ou qualité de main-d'œuvre suffisante. Toutefois, l’immigration illégale va au-delà des souhaits des pays d’arrivée.
Aujourd'hui, les flux de migrations sont orientés aussi bien des pays en développement vers les pays développés que d'un pays développé vers un autre1 que d'un pays en développement vers un autre pays en développement (Sud-Sud). Les plus forts taux de travailleurs immigrés dans la population active se retrouvent dans les pays du Golfe Persique : 90 % aux Émirats arabes unis, 86 % au Qatar, 82 % au Koweït.
Un migrant peut ne pas être en règle au regard de la législation sur l'immigration en vigueur dans le pays de destination.
Des communes victime d'exode rural, comme Riace depuis 1998, en Italie ont une politique volontariste d'accueil de l'immigration visant à entretenir leur démographie et la vie économique locale2. En 2011, L'Osservatore Romano (le quotidien du Vatican) a cité cette bourgade comme un exemple à suivre vis-à-vis des immigrés2.