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Votre compte sera activé immédiatement.Les auteurs réalistes ont toujours fait des efforts pour rester fidèle au réel, en représentant le monde et les hommes tels qu’ils sont. C’est d’ailleurs cela que Guy de Maupassant a voulu illustrer dans « La parure », une courte histoire qui met en scène une femme pauvre qui a toujours rêvé d’être riche. Dans cette œuvre, publiée en 1884, Guy de Maupassant démontre que la vie est cruelle. En effet, la cruauté ce trouve surtout dans les inégalités sociales etdans les rapports entre les classes.
En premier lieu, dans « La parure », les inégalités sociales sont très bien représentées avec l’écart entre les pauvres et les riches. D’ailleurs, dans « La parure », Mathilde et son époux, M. Loisel, symbolisent la pauvreté. Ainsi, Mathilde souffre « de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de la laideur des étoffes ». Ce qui explique de celle-ci vit dans une petite maison, en raison du manque d’argent, mais qui sontcapable de subvenir à leur besoin en ayant un logement convenable où se réfugier. De plus, Mathilde rêve de vivre dans la richesse et avoir de belles choses, comme le démontre cette citation: « Elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d’oiseaux étranges au milieu d’une forêt de féerie […] ». À l’opposé, Mme. Forestier, une amie à Mathilde, représente la richesse. Alors que Mathilde n’a pas de « toilettes », pas de« bijoux », Mme. Forestier, quand à elle, à tout ce qu’elle désire. D’ailleurs, Mme. Forestier a tout les objets précieux qu’une femme rêverait d’avoir, comme en témoigne le champ lexical pour les désigner : « bracelet, collier, perle, croix, or, pierreries, parure ».