Introduction : Notre objectif lors de ces expériences, est de grâce à un type de croisement génétique (monohybridisme), suivre l’hérédité d’un caractère génétique particulier. Pour faire ceci, nous devons premièrement établir quels sont les caractères et les allèles en jeu. Ensuite, nous allons établir des hypothèses, grâce à un échiquier de croisement, sur les génotypes et les phénotypes des générations suivantes. Enfin, nous observerons les phénotypes de générations suivantes pour comparer avec nos résultats sur les génotypes, ainsi vérifiant que nos hypothèses soient correctes et précises. Dans le cadre de nos expériences, nous allons nous intéresser aux caractères et aux allèles des graines de maïs et des ailes de drosophile (mouche de vinaigre). B) *Monohybridisme* chez la Drosophile Le caractère en jeu est la longueur et la formation des ailes chez la Drosophile. Les deux allèles en jeu dans le croisement sont : les ailes ‘’normales’’ (plutôt longues) (vg+) et les ailes atrophiées (plutôt petites) (vg) chez la Drosophile. Les génotypes des parents (P) sont soit vg+/vg+ soit vg/vg. Les parents sont tous homozygotes, autrement dit ‘’purs’’ (Leurs génotypes sont composés de deux pareilles allèles). Croisement (vg+/vg+ X vg/vg). On déduit, par le phénotype aperçu, que l’allèle vg+ est dominante et que l’allèle vg est récessive, puisque le 100% des mouches de la F1 possédaient de longues ailes. Echiquier de croisement des parents à la F2 : Croisement : vg*+/*vg X vg*+/*vg Génotype :* * 25% : *vg*+/*vg*+ 25% : *vg*/*vg* 50% : *vg*+/*vg* Phénotype : 75% : Ailes ‘’normales’’ 25% : Ailes atrophiées Bien que les résultats des groupes soient généralement tous proches des résultats théoriques,on remarque que le voisinage (avec le théorique) est meilleur lorsqu’on regroupe un plus grand nombre. Il faut aussi dire qu’une petite erreur aura moins d’effet sur une plus grande échelle. Il faudrait la