Histoire
Sur le principe, on considère qu’il y a trois mondes, et ce depuis que l’humanité existe, quelques soient les civilisations, quelque soit l’époque, c’est le propre de l’homme.
# Le premier monde, c’est soi-même, l’individu. C’est-à-dire que tant qu’il vit, il va essayer d’avoir la meilleure vie possible. Il ne prend pas en compte quelqu’un d’autre : c’est lui et basta.
# L’individu social, c’est-à-dire l’individu avec les gens qu’il connaît personnellement (ex : la famille, les collègues, les amis, les voisins, etc.). Ce sont les gens que l’on connaît avec qui on va essayer de vivre ensemble.
# L’autre, celui que l’on ne connaît pas. C’est l’humain (ex : le japonais, le chinois, l’africain, etc.), dont on se fiche totalement, ou au contraire je suis citoyen du monde, auquel cas je suis intéressé, passionné, et donc je m’y intéresse.
Tout cela détermine donc 3 typologies d’histoires :
# L’histoire de l’individu. Notre histoire, qui ne compte pour rien, qui n’a pas changé l’histoire. C’est ce qu’on appelle la micro histoire, la petite histoire. Chacun de ces individus s’élèvent à une vision du monde qui est très rarement la vérité puisque sa façon d’être, de faire est fondée sur des sentiments, et donc il a une réalité. La réalité, c’est ce que chacun croit être sa vérité. Quand on additionne toutes les réalités des individus, cela donne la vérité historique. La vérité historique, c’est la somme des réalités.
# Ne pas confondre réalité & vérité. Ex : Hollande n’a pas gagné les élections, c’est Sarkozy qui les a perdu La France n’a donc pas voté à gauche, elle a voté contre Sarkozy.
L’histoire, ça étudie les évènements historique. Il faut donc réussir à déceler les événements qui en sont vraiment, et ceux qui n’en sont pas. 600 000 infos qui tombent dans les agences de presse du monde pas jour, et combien sont retenus ? Très peu.
Un événement en histoire est une cause qui produit des conséquences, qui